Revue BOOKS N° 114 - Juil/Aout 2021
Il est à l’origine de centaines de milliers de livres, sans même parler des centaines de milliers d’articles ou de numéros de magazines. Pourquoi alors consacrer notre nouveau dossier à Napoléon ? Parce que, deux siècles après sa mort, aucun véritable consensus ne se dégage : les actions du petit Corse à la trajectoire fulgurante – lequel, soit dit en passant, n’était pas si petit qu’on a voulu le faire croire – continue d’embraser les esprits. Books propose un état des lieux, donnant la parole aux admirateurs de l’Empereur comme à ses détracteurs, avec peut-être une petite préférence pour ces derniers, qu’on a moins l’habitude de lire dans les journaux français.
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Il est à l’origine de centaines de milliers de livres, sans même parler des centaines de milliers d’articles ou de numéros de magazines. Pourquoi alors consacrer notre nouveau dossier à Napoléon ? Parce que, deux siècles après sa mort, aucun véritable consensus ne se dégage : les actions du petit Corse à la trajectoire fulgurante – lequel, soit dit en passant, n’était pas si petit qu’on a voulu le faire croire – continue d’embraser les esprits. Books propose un état des lieux, donnant la parole aux admirateurs de l’Empereur comme à ses détracteurs, avec peut-être une petite préférence pour ces derniers, qu’on a moins l’habitude de lire dans les journaux français.
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Fiche technique
- hauteur (en mm)
- 287.00
- largeur (en mm)
- 213.00
- éditeur
- BOOKS
Il est à l’origine de centaines de milliers de livres, sans même parler des centaines de milliers d’articles ou de numéros de magazines. Pourquoi alors consacrer notre nouveau dossier à Napoléon ? Parce que, deux siècles après sa mort, aucun véritable consensus ne se dégage : les actions du petit Corse à la trajectoire fulgurante – lequel, soit dit en passant, n’était pas si petit qu’on a voulu le faire croire – continue d’embraser les esprits. Books propose un état des lieux, donnant la parole aux admirateurs de l’Empereur comme à ses détracteurs, avec peut-être une petite préférence pour ces derniers, qu’on a moins l’habitude de lire dans les journaux français.